Alors que la situation en Haïti continue de se détériorer à une vitesse alarmante,
le silence de Laurent Saint-Cyr, président du Conseil présidentiel de transition (CPT),
devient de plus en plus insoutenable.
Entre l’insécurité galopante, la crise humanitaire aiguë,
l’effondrement institutionnel et l’exode massif de la population,
le pays semble abandonné à lui-même.
Un pouvoir qui brille par son inertie
Face à cette urgence nationale, le CPT, dirigé par Laurent Saint-Cyr,
brille par son inaction.
Aucune décision majeure, aucun plan de redressement,
aucun projet concret n’a été communiqué au peuple depuis leur prise de fonction.
Pendant ce temps, les gangs étendent leur territoire,
la population meurt de faim ou tente de fuir,
et les institutions perdent le peu de crédibilité qui leur restait.
Un mutisme coupable
Ce mutisme coupable, perçu comme de l’indifférence ou de la déconnexion totale
avec la réalité du terrain, alimente frustration, colère et désespoir.
L’absence d’initiatives, de transparence et de leadership ne fait que creuser
le fossé entre les dirigeants et le peuple.
Un pouvoir de transition inutile ?
À quoi sert un pouvoir de transition s’il ne répond pas à l’urgence de la survie nationale ?
Le pays attend des actes, pas des discours vides.
Le temps presse, et chaque jour de silence politique coûte des vies.
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