Depuis sa nomination à la tête du gouvernement de transition, Alix Didier Fils-Aimé peine à convaincre quant à sa capacité à enrayer la spirale de violence qui gangrène Haïti. Trois mois après son entrée en fonction, les gangs armés continuent de contrôler une large partie du territoire, semant la terreur dans les quartiers populaires et paralysant les activités économiques, éducatives et sanitaires du pays.
Une gouvernance critiquée par la société civile
Le chef du gouvernement, souvent silencieux ou imprécis dans ses prises de parole, fait l’objet de vives critiques au sein de la société civile. De nombreuses voix s’élèvent pour dénoncer son manque d’initiative, son absence de vision claire et sa gestion passive d’une situation qui exige des actions fermes et coordonnées.
Des attentes populaires face à l’inaction gouvernementale
Alors que la population attend des résultats concrets, Alix Didier Fils-Aimé semble dépassé par l’ampleur de la tâche. Les rares opérations de sécurité menées jusqu’ici se sont révélées inefficaces, voire inexistantes, face à des groupes armés toujours mieux organisés et équipés.
📲 Ne ratez rien avec Hebdo24
Recevez directement nos dernières nouvelles
sur votre téléphone via notre chaîne WhatsApp officielle.
Rejoindre la chaîne WhatsApp Hebdo24
Discussion about this post