La révocation de Sterline Civil, actée le
18 septembre 2025, apparaît comme l’aboutissement logique d’un mandat
miné par la mauvaise gestion et l’opacité.
Refusant d’assumer ses échecs, l’ancienne responsable a choisi de saisir la
Cour Supérieure des Comptes, invoquant un mandat de trois ans.
Une fuite en avant
Cette démarche relève moins d’un droit bafoué que d’une
fuite en avant, traduisant son incapacité à reconnaître son
incompétence.
Un bilan inexistant
Son passage à la tête de l’institution n’a laissé
aucune réalisation tangible.
Pire, il demeure associé à des pratiques douteuses et à une
gouvernance improvisée, où l’ambition personnelle
a souvent primé sur l’intérêt public.
Ce départ forcé n’est pas une simple formalité administrative :
il constitue un avertissement.
Les institutions ne peuvent prospérer à l’ombre de l’amateurisme et de l’opacité.
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