C’est un fait indéniable qu’Haïti est un pays où l’espoir d’un lendemain meilleur n’habite pas. Le Conseil présidentiel de transition (CPT) appelé à résoudre les crises qui sévissent dans le pays, notamment l’insécurité, est aujourd’hui rongé par la division de ses membres.
En effet, quatre blocs s’opposent au sein du Conseil présidentiel de transition qui ne peut plus ou presque plus prendre une décision bénéfique pour le pays. Il s’agit d’un groupe composé de Laurent St-Cyr et des trois braqueurs de la Banque nationale de crédit (BNC) Louis Gérald Gilles, Smith Augustin, Emmanuel Vertilaire. Le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé dont l’incompétence n’est plus à démontrer est partie prenante de ce bloc.
L’actuel coordonnateur du Conseil présidentiel de transition Fritz Alphonse Jean et Leslie Voltaire, deux Lavalasiens de souche, font équipe. Le représentant de l’Accord du 30 août au Conseil, Edgard Leblanc Fils, fait cavalier seul, mais son influence existe, avons-nous appris. Pour couronner le tout, les deux observateurs qui n’observent vraiment rien (Régine Abraham, Frinel Joseph) s’entendent comme deux larrons en foire.
Voilà l’état actuel des choses au sein du Conseil présidentiel de transition appelé à résoudre les crises sécuritaire, humanitaire et environnementale entre autres. Tout indique dans la réalité que le pays est foutu, sans une mobilisation populaire.
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