L’annulation de la lettre de nomination de Léandre, qui devait occuper le poste de ministre conseiller aux Bahamas, révèle une manœuvre troublante orchestrée par Harvel Jean Baptiste.
En induisant la Primature en erreur, ce dernier semble avoir cherché à se frayer un chemin vers le poste de Premier ministre, s’affranchissant des règles de transparence et d’éthique.
La décision de la Primature de revenir sur cette nomination, à la suite des dénonciations du RNDDH, souligne l’importance d’une vigilance constante face aux abus de pouvoir.
Cette décision met également en lumière des préoccupations éthiques majeures, notamment le lien de Léandre avec un scandale de corruption à la Banque nationale de Crédit.
Le RNDDH a dénoncé des éléments compromettants, tels qu’une carte de crédit perçue comme un pot-de-vin, incitant à ne pas valider cette nomination afin de préserver l’intégrité des institutions gouvernementales.
Ce revirement souligne la nécessité d’un système politique capable de prévenir de telles manipulations, tout en questionnant l’engagement du gouvernement envers la justice et la transparence.
Les conséquences de cette situation pourraient avoir des répercussions durables sur la perception du gouvernement et son engagement envers la justice.
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