Lors d’une interview sur TV5 MONDE le 29 janvier, le Conseiller-Président a confirmé ces dates, mais cela suscite de vives préoccupations au sein de la population.
Dans un contexte d’insécurité qui touche de nombreuses régions du pays, la possibilité de réaliser ces événements semble peu probable sans des avancées significatives en matière de logistique et de sécurité.
Le Conseil Électoral Provisoire (CEP), qui avance très lentement, soulève des interrogations sur sa capacité à organiser un référendum dans un délai aussi court.
De plus, le projet de Constitution demeure largement inconnu du public, ce qui accentue la confusion et l’anxiété.
Dans ce contexte, la confiance dans la capacité à mener à bien ces processus démocratiques est fortement compromise.
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