Ce matin, notre capitale s’est éveillée dans une atmosphère de tension palpable, un climat électrique à la veille d’une manifestation qui s’annonce massive.
Les rues sont désertes, marquées par la fermeture des commerces, des bureaux de transfert et des supermarchés.
Des barricades de pneus enflammés entravent la circulation, symbole d’une colère populaire qui ne peut plus être ignorée.
La situation est alarmante : plus de 85 % des territoires métropolitains sont sous l’emprise des gangs de « Viv Ansanm ».
Les autorités, face à cette montée en puissance des criminels, semblent désarmées, incapables de proposer des solutions concrètes.
Les cris de détresse résonnent dans chaque quartier, chaque ruelle, mais la police, dépassée par les événements, semble impuissante face à la puissance des gangsters. Qui viendra en aide à un peuple qui se sent abandonné ?
Étonnamment, la communauté internationale, souvent si prompte à intervenir dans nos affaires, demeure silencieuse.
La prise de contrôle totale de notre ville est en jeu.
Il est temps de se lever, de faire entendre notre voix et de revendiquer notre droit à la sécurité et à la paix.
L’avenir de notre capitale dépend de notre capacité à nous unir contre la violence et à exiger des mesures concrètes. Si nous ne le faisons pas, nous risquons de sombrer dans un chaos dont personne ne pourra sortir indemne.
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