Les habitants de Port-au-Prince sont plongés dans un cauchemar quotidien, assiégés par des attaques coordonnées de gangs qui sèment la terreur dans plusieurs quartiers.
Alors que les écoles et les commerces ferment leurs portes, l’État haïtien, sous la direction du Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé, semble paralysé et incapable d’agir face à cette crise.
Depuis plusieurs années, des territoires sont abandonnés aux gangs, créant un climat d’insécurité croissante.
L’arrivée de Fritz Alphonse Jean à la présidence du Conseil présidentiel de Transition n’a pas apporté de solutions tangibles.
Les promesses de rétablir la sécurité et les réunions de haut niveau n’ont jusqu’à présent donné lieu à aucun changement concret.
Les élèves, les étudiants et les travailleurs demeurent dans l’incertitude, leurs vies et leurs projets suspendus à une situation de violence croissante.
Face à cette détresse, les discours rassurants des autorités semblent vides et insuffisants.
La population a besoin de preuves tangibles d’engagement et d’actions décisives pour remédier à la crise.
La situation exige un leadership déterminé pour restaurer l’ordre et la confiance.
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