Le 25 février 2025, le quartier de Delmas 30 à Port-au-Prince a été le théâtre d’attaques meurtrières orchestrées par la coalition de gangs Viv Ansanm.
Au moins 15 personnes ont été tuées, dont un vendeur de viande brûlé vif devant son enfant.
Les habitants, pris de panique, fuyaient en transportant leurs biens sur la tête.
Les gangs, dirigés par Jimmy « Barbecue » Chérizier, ont intensifié leur violence pour étendre leur contrôle sur des zones stratégiques, laissant des familles décimées et des survivants traumatisés.
La situation est désespérée, avec plus d’un million de déplacés internes en raison de la violence.
Les forces de police et la mission de sécurité multinationale, dirigée par le Kenya, sont débordées face aux attaques simultanées.
Alors que les résidents implorent de l’aide, les Nations Unies annoncent un plan d’intervention humanitaire nécessitant 908 millions de dollars pour soutenir près de 4 millions de personnes vulnérables.
Que vaut le CPT ? Il faut l’anéantir.
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