Un leadership contesté au sein du CPT
Quatre mois après son arrivée à la tête du Conseil présidentiel de transition (CPT), Fritz Alphonse Jean semble déterminé à s’accrocher à son poste — malgré les critiques, les blocages institutionnels, et une perte croissante de confiance au sein de l’opinion publique.
Des tensions internes paralysantes
Depuis son investiture, les divisions au sein du CPT se sont aggravées. Les séances sont devenues rares, les décisions quasiment impossibles à prendre, pendant que les accusations de gestion opaque se multiplient.
Plusieurs conseillers dénoncent une présidence autoritaire, marquée par un manque flagrant de concertation.
Une stratégie de conservation du pouvoir
Pourtant, Fritz Alphonse Jean multiplie les manœuvres pour conserver son avantage politique : communication millimétrée, rencontres diplomatiques ciblées, et alliances discrètes à l’intérieur du conseil.
Certains le soupçonnent même de retarder volontairement certains processus pour maintenir le statu quo.
Une gouvernance au point mort
Alors que le pays attend des décisions urgentes sur la sécurité, la gouvernance et l’organisation des élections, l’immobilisme du CPT inquiète.
Et dans ce climat tendu, le comportement de son président renforce l’idée qu’il est plus préoccupé par la préservation de son pouvoir que par la mission du Conseil.
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