Le parti de Jean-Bertrand Aristide, Fanmi Lavalas, exige la démission collective des membres du Conseil présidentiel de transition, y compris son représentant, Leslie Voltaire, en réponse à la crise sécuritaire persistante. Joël Édouard Vorbe, porte-parole du parti, a dénoncé l’incapacité du CPT à rétablir la sécurité, qualifiant leur action de « chaos perpétué » et accusant un sabotage de la transition.
Bien que la démission de Voltaire ne soit pas explicitement demandée, la position de Fanmi Lavalas est présentée comme un souci pour le bien-être national. Cette ambiguïté soulève des interrogations sur la cohésion du parti et son avenir politique.
Face à la montée des violences, l’appel à une mobilisation citoyenne et à un dialogue constructif est perçu comme une lueur d’espoir. Mais, la politique du double de Fanmi Lavalas est tout aussi à dénoncer que l’indifférence et l’incompétence du CPT.
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