D’une part, les nouveaux acteurs privés du Nord, souvent innovants et agiles, exploitent habilement les failles du système en place.
Ils cherchent à capter des avantages concurrentiels, à travers des pratiques parfois douteuses, en tirant parti des zones d’ombre laissées par la réglementation.
Leur objectif est clair : maximiser leurs profits, souvent au détriment de l’intérêt public et des valeurs fondamentales de l’institution.
De l’autre côté, les élites traditionnelles de l’Ouest, se battent pour préserver leurs privilèges acquis.
Ces acteurs, ancrés dans des structures rigides, craignent que l’émergence de ces nouveaux entrants ne remette en question leur statut et leur pouvoir.
Ils s’accrochent à des pratiques obsolètes, cherchant à maintenir le statu quo plutôt que de s’adapter aux nouvelles réalités économiques.
Cette lutte de pouvoir entre les deux camps crée une paralysie institutionnelle, où l’argent public est mal géré et où les décisions manquent de clarté.
En conséquence, la confiance des citoyens dans le CPT s’effrite lentement.
Les citoyens, souvent désillusionnés, ressentent un éloignement croissant entre leurs attentes et les actions de l’institution.
Pour restaurer la crédibilité du CPT
Un assainissement des relations entre l’État et le secteur privé est impératif.
Cela nécessite une transparence totale dans les processus décisionnels et une indépendance renforcée des institutions pour garantir qu’elles ne soient pas influencées par des intérêts privés ou politiques.
Établir des mécanismes de contrôle efficaces et favoriser un dialogue constructif entre les différentes parties prenantes pourraient également contribuer à la réhabilitation du CPT.
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