La situation dans la région métropolitaine est devenue insupportable, marquée par une violence incessante orchestrée par des gangs qui tuent sans relâche.
Nos forces de l’ordre, censées protéger les citoyens, semblent paralysées et démunies face à cette menace grandissante.
Pendant ce temps, le ministre des Affaires étrangères, qui devrait être un pilier de la sécurité nationale sur le plan diplomatique, se contente de siphonner chaque mois 10 millions de gourdes destinés à des fonds d’intelligence.
Ce détournement de ressources est un affront à la souffrance des innocents qui, chaque jour, deviennent des victimes des balles perdues.
Il est inacceptable que nos autorités, au lieu de se concentrer sur l’amélioration des conditions de sécurité, choisissent de prioriser leurs propres intérêts.
L’indifférence et la corruption qui gangrènent notre système doivent être dénoncées avec véhémence.
Chaque vie perdue sous les coups des bandits est un échec cuisant de notre gouvernance.
Il est temps d’exiger des comptes.
Nous avons besoin d’un véritable engagement pour la sécurité, de l’argent investi dans le matériel nécessaire pour nos policiers, et d’une stratégie claire pour restaurer l’ordre.
Nous méritons une vie sans peur, une société où chaque citoyen peut circuler librement.
La mobilisation collective doit passer par une exigence claire : la sécurité pour tous, sans exception.
Commentaires