Dans son adresse à la Nation, Fritz Alphonse Jean, Président du Conseil Présidentiel de Transition, annonce le 7 février 2026 comme date de remise du pouvoir à un Président élu.
Cette déclaration suscite scepticisme, surtout face à la grave crise de sécurité en Haïti, où les gangs armés dominent de vastes territoires.
Les conditions économiques se détériorent, rendant les élections libres et transparentes de plus en plus improbables.
Les préoccupations des Haïtiens dépassent le calendrier électoral, touchant à leur sécurité et à leur dignité.
Le gouvernement de transition, critiqué pour son inefficacité, doit prioriser la lutte contre l’insécurité et la réconciliation nationale plutôt que de se focaliser sur des promesses symboliques.
La population, fatiguée des promesses non tenues, exige un plan réaliste et des actions concrètes pour améliorer sa situation.
Commentaires