La situation politique en Haïti est marquée par une profonde méfiance, illustrée par le cas de Sinal Bertrand.
Nommé ministre grâce à l’accord du 21 décembre, il a rapidement trahi les espoirs placés en lui en privilégiant ses ambitions personnelles.
Dès son arrivée au MSPP, Bertrand a cherché à concentrer le pouvoir en nommant des proches à des postes clés, compromettant ainsi l’accord initial et renforçant une clique aux pratiques douteuses.
Cette attitude alimente une culture de la trahison et du mensonge, suscitant l’exaspération des figures de l’accord qui envisagent maintenant sa révocation.
Bertrand n’a pas tiré les leçons des échecs de ses prédécesseurs, tels que Georges Brignol Fils et Bléma Lorthé.
Sa quête de pouvoir personnel pourrait finalement le conduire à une chute imminente, soulignant l’importance de l’intégrité dans la politique haïtienne.
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