En Haïti, la liberté de la presse est gravement menacée par une violence exacerbée, notamment à Port-au-Prince, où les journalistes sont ciblés par des gangs armés, comme la coalition « Viv Ansanm ».
Ces attaques entraînent des pertes humaines et le pillage de matériel, créant un climat de peur qui menace non seulement la vie des journalistes, mais aussi la démocratie et la liberté d’expression.
En dénonçant les abus des groupes criminels, les journalistes s’opposent à des adversaires déterminés à maintenir leur pouvoir par la terreur.
L’absence de protection institutionnelle et un sentiment d’impunité aggravent cette situation, faisant d’Haïti l’un des pays les plus dangereux pour la presse.
Malgré ces défis, les journalistes continuent de faire preuve de résilience, mais il est crucial que le gouvernement et la communauté internationale interviennent pour garantir leur sécurité et restaurer un environnement favorable à la liberté d’expression.
La protection des journalistes est essentielle pour la démocratie.
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