Jean-Victor Harvel, ministre des Affaires Étrangères et des Cultes, suscite des interrogations quant à l’efficacité de sa diplomatie.
Alors qu’il multiplie les déplacements à l’international, les résultats concrets pour Haïti demeurent invisibles.
Ses voyages semblent déconnectés des réalités du pays, où l’insécurité et les crises économiques persistent.
Peut-on réellement espérer des solutions efficaces aux problèmes structurels, tels que la déportation des Haïtiens, par de simples visites diplomatiques ?
La « diplomatie du bisou » révèle ses limites face aux défis profonds qui affectent les relations entre Haïti et d’autres nations, comme l’illustre la situation précaire des migrants haïtiens en République dominicaine.
Les Haïtiens aspirent à des résultats tangibles. Il est impératif que le ministre utilise sa position pour initier des changements concrets.
La diplomatie haïtienne doit se transformer en un véritable levier de progrès pour le pays.
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