Selon Miami Herald, le recrutement de Carlos Trujillo, ancien ambassadeur sous Trump, par le gouvernement haïtien pour un contrat de lobbying à 35 000 $ par mois soulève des questions cruciales.
Alors que Port-au-Prince est de nouveau frappée par des violences de gangs, alimentant la peur et provoquant la perte de vies parmi les forces de sécurité, le gouvernement semble chercher à améliorer l’image du pays pour attirer des investissements américains.
Cependant, les objectifs de cette initiative demeurent flous, suscitant des inquiétudes concernant la transparence et l’efficacité du leadership actuel.
Dans un contexte où la situation politique est de plus en plus instable et où des élections semblent de moins en moins probables, il est impératif que le gouvernement haïtien démontre une stratégie claire et tangible.
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