À l’approche de la fin de son mandat, Leslie Voltaire, coordonnateur du Conseil Présidentiel de Transition en Haïti, est critiqué non seulement pour sa gestion de la sécurité nationale, mais aussi pour son apparente déconnexion des réalités vécues quotidiennement par les Haïtiens.
La violence des gangs, qui atteint des niveaux alarmants, a provoqué un exode massif de citoyens fuyant des quartiers devenus des zones de non-droit.
Dans ce contexte chaotique, Voltaire symbolise l’inefficacité d’un système en déroute.
La situation à Port-au-Prince est devenue si critique qu’elle est désormais reconnue comme l’une des villes les plus dangereuses au monde.
Les habitants, pris entre les feux croisés des gangs et l’incapacité des forces de l’ordre à protéger les citoyens, vivent dans une peur constante.
Pourtant, Voltaire semble, tout au long de son mandat, ignorer l’angoisse omniprésente et continue de faire des déclarations jugées dénuées de sens.
Son administration est également ternie par des accusations de corruption, où les intérêts personnels semblent primer sur la sécurité publique.
Voltaire est incapable de prendre la mesure de la gravité de la situation.
La lassitude des citoyens face à des promesses non tenues est palpable.
Il est urgent que les autorités prennent conscience des enjeux réels et adoptent des mesures concrètes pour restaurer la sécurité et la confiance dans les institutions.
L’heure n’est plus à la rhétorique, mais à l’action.
Un changement de cap s’impose pour redonner espoir à un peuple désabusé.
La sécurité en Haïti ne peut pas être une simple promesse ; elle doit devenir une réalité tangible.
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