Alors que la Représentante du Secrétaire général de l’ONU, Helen Lalime, avait applaudi la coalition des gangs en Haïti, aujourd’hui l’ONU semble avoir changé de position vis-à-vis des criminels qui terrorisent et endeuillent la population. En effet, lors d’une récente réunion, le Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies a menacé de sanctionner toutes les personnes qui coopèrent avec les gangs en Haïti.
Ainsi, il prévoit de geler des fonds et d’empêcher le déplacement de tous ceux qui collaborent avec les gangs qui pourrissent la vie de la population haïtienne. Apparemment déterminé, le Conseil de l’ONU accorde un délai de 90 jours, à partir du 08 août 2022, pour mettre en application sa décision au cas où la violence des gangs ne cesserait pas.
Dans l’intervalle, certains se demandent si l’ONU connaît les patrons et collaborateurs des gangs et pourquoi n’avait-elle jamais aidé Haïti à sortir du chaos?
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